Catégorie : Conseils

La patience est la première qualité d’un jardinier. Il vaut mieux semer et planter quand les conditions climatiques sont favorables plutôt que de se fier uniquement au calendrier. La culture sera plus aisé et le résultat satisfaisant.Les jardiniers impatients s’exposent au risque de perdre une partie de leurs plants et semences.

Il choisit terreau et semences
Il pense déjà « parfums, nuances »
Son alliée, c’est la patience
Et pour cela, il attend

Quelques jours ou quelques semaines
Avant qu’elles éclatent les graines
Il ne ménage pas sa peine
Et toujours, il attend

Enfin, ce sont les pleines brassées
Qui s’offrent au soleil, à l’ondée
Son talent vert est révélé
Son jardin le surprend

Les feuilles jaunissent, rougoient, puis chutent
Contre la nature, peu de lutte

…

La vie reprendra au printemps
Il le sait … il attend

« Le jardinier », Isalou

De manière générale, choisissez un pot de volume suffisamment grand.

La qualité du terreau est très importante. Vous pouvez y mélanger 10 à 20% de terre de jardin afin de donner de la consistance à votre mélange.

En pleine terre, les végétaux trouvent à l’état naturel tous les éléments nutritifs dont ils ont besoin. Pour une plante en pot il est important de lui apporter ces différents éléments en ajoutant au terreau un engrais complet à libération lente. Contenu dans une bille, il libère les éléments nutritifs sur plusieurs mois en fonction des conditions climatiques (température, humidité…).

Augmentez peu à peu les arrosage en fonction des besoins.

Il vaut mieux que votre plante aie soif, car vous pouvez apporter de l’eau. A l’inverse, s’il y a trop d’eau et que votre plante en souffre, vous aurez beaucoup de mal à rattraper la situation.

Sachez simplement que les plantes en pot nécessitent de la présence, surtout à la belle saison, quand il fait très chaud.

Pour un jardin en bonne santé il est important de le comprendre. Cela passe par l’observation et le respect de la diversité de tous les organismes présents. Il est important de préserver l’équilibre de cet écosystème. Par exemple, les « mauvaises herbes » ne sont pas toujours néfastes, en effet en préserver permet d’attirer insectes et autres organismes participant à la défense et au développement des cultures.

Il est important d’identifier la difficulté (maladie, ravageur ou carence) avant de se tourner vers une solution radicale. Parfois le problème est sans conséquences et ne mérite donc pas un acharnement chimique. N’hésitez pas à nous contacter, de préférence avec un échantillon, nous vous aiderons à trouver les causes de vos soucis.

Il ne faut pas hésiter à juxtaposer les différentes cultures parfois complémentaires y compris des fleurs dans le potager. Bien souvent il est possible d’associer une espèce avec une autre pour que chacune en profite. Par exemple la carotte avec l’oignon permet une protection mutuelle contre les parasites. Dans une autre optique, il est possible d’optimiser l’occupation du sol et de l’espace en faisant grimper des haricots sur des pieds de maïs.